Nous avons accès sur quatre textes, tous sont issues du XIXème siècles. Émile Zola dans la « Préface aux Rougon-Marcquart » en 1871 ? Honoré de Balzac dans « Avant-propos à la Comédie humaine » en 1842, les frères Goncourt dans la « Préface à Germine Lacerteux » et Guy de Maupassant « Le roman » Préface à Pierre et Jean en 1887. On observe qu'il on tous une vision de la société et qu'il se considère comme des artistes ou scientifique. Nous pouvons donc nous demander quels éléments communs peut-on dégager des différentes visions que proposent ces quatre auteurs quand au rôle et aux caractéristique du roman tel qu'ils le conçoivent ?

Tout d'abord, le nouveau héros n'est plus le centre d'un roman. Emile Zola s’intéresse plutôt à un groupe de personne « une famille », « un petit groupe d'êtres » et leur façon dont il se comporte dans une société. Les frères Goncourt, eux, s’intéressent au peuple : « si ce monde sous un monde, le peuple […]. », tandis que Blazac s’intéresse à « la société française ». En revanche Maupassant utilise une vision plus générale, il parle de tout le monde « raconter tout serait impossible […] pour énumérer les multitudes d'incidents insignifiants qui emplissent notre existence. » Ces romancier ne s'intéressent pas aux classes sociale bourgeoise, si populaire mais plutôt aux défavorisés, « les basses classes » comme cité dans le texte des frère Goncourt. De plus, ils s'intéressent à la Société Française, au peuple, à un groupe de personne, mais de différentes manières.

Dans ces quatre textes les auteurs considèrent que le premier devoir de l'écrivain est l'observation objective de la vie réelle. Dans son texte, Balzac nous me fait deviner pour un procédé tel que l'assonance « en dressant l'inventaire », « en peignant les caractères », « en composant des types ». En ce qui concerne les frères Goncourt, eux, utilisent l'énumération et une certaine importance dans ce qu'ils disent : « Aujourd'hui que le Roman s'élargit,