Corpus intro + analyse 2 texte
Comment des scènes de la vie quotidienne aussi banales que des repas peuvent-elles nous renseigner sur le milieux social des personnages ?
Zola ainsi que de Pergaud, nous font comprendre que les repas de leurs personnages sont exceptionnels et qu'ils les fond peut-être oublier les jours de carence, de famine. Chacun à leur façon, de manière totalement différente. Par exemple, dans le texte de Zola, on note l'excès que caractérise le repas de noce de Gervaise, les plats ainsi que l'attitude exagérée des personnages avec « la blanquette » ligne 1, « morceau de veaux » ligne 3, « épinée de cochon » ligne 7, « pommes de terre » ligne 12, « œil oblique » ligne 10, « bouche pleine » ligne 11… « un incendie dans le ventre » ligne 7, « un coup d’arrosoir » ligne 13. Alors que le texte de Pergaud, on démontre que du simple chocolat et du vin peuvent devenir des mets exceptionnels « c’était le plat de résistance » ligne 2, « les yeux pétillaient » ligne 4, « chacun aura son verre » ligne 10, « c’est épatant » ligne 18.