Corpus la bruyère et la fontaine
Effectivement, nos deux auteurs porte un jugement péjoratif sur l’homme. Ils attaques surtout dans ces quatre textes sont égoïsme et sont orgueil. La Fontaine et La Bruyère trouvent la conduite de l’homme à ne se préoccuper que de son intérêt personnelle au détriment de celui d’autrui inadmissible et la façon qu’il a s’attribuer des mérites qu’il n’a pas, scandaleuse. Dans « des hommes » et « l’homme est la couleuvre », les écrivains mettent en avant l’égoïsme des hommes. La bruyère peint l’image d’un homme (Gnathon) qui « ne vit que pour soit ». Il décrit un individu qui néglige son entourage « capable d’ôter l’appétit aux plus affamés » en gardant un style de vie lui étant propre «s’ils veulent manger, mangent ses restes » et en profitant de bien ne lui appartenant pas « il tourne tout à son usage ; ses valets, ceux d’autrui ». Dans la fable « l’homme et la couleuvre », La fontaine expose l’humain comme un grand égoïste envers les animaux. Une vache lui reproche que la production des animaux « n’est que pour lui seul » et qu’ils n’ont aucun retour. La seul récompense est qu’ils soir sacrifiés « achetaient de son sang l’indulgence des dieux ».
Ensuite, c’est dans « des jugements » et « la besace » qu’ils condamnent l’orgueil des hommes. Dans « des jugements » l’homme se qualifie de « raisonnable », alors que pour se différencier des animaux, il a créé des armes pour mieux se détruire « lances, piques, dards ». La bruyère explique donc que l’orgueil humain