Corpus négritude et engagement
L’extrait de Le Planètarium, publié en 1959, conte l’histoire de Alain et Giséle, un jeune couple, confronté à l’offre de fauteuils par la mère de celle-ci mais ils ne correspondent pas à leur critère et so voit de refuser cette offre. C’est alors une dispute entre une mère et sa fille qui se crée.
Nous nous demandons alors comment une simple offre peut mener à des tensiens entre un mère et sa fille et en quoi cela mène à un mauvaise communication entres elles.
D’abord nous verrons l’offre et le refus des fauteuils par les personnage. Puis nous analyserons les différentes réactions des personnages. Enfin nous nous interrogerons sur la communication des personnage par les paroles et les gestes.
En premier temps, nous verrons une offre de cadeaux plutôt banal qui vous tourner à un enchainement d’action. Une offre banal de fauteuil par une mère au couple de sa fille : Gisèle et Alain. Elle leur offre de bon cœur, et leur donne même l’adresse d’un bon fabriquant, elle choisit même pour le couple, elle leur dit ce qu’il leur faut et qu’ils n’auront pas mieux : « deux superbes fauteuils » (l.3) , il y a une hyperbole, les qualité des fauteuils sont exagérer « Exactement ce qu’il vous faut » (l.4), « Vous ne trouverez rien de mieux » (l.5). Il y a également l’énumération des qualité de ces fauteuils en partulier « Confortables, solides et très jolis ». De plus la mère utilise le pouvoir des marques pour faire conprendre à sa fille que tout est de bonne qualité « Un ancien ouvrier de chez Maple » (l.6). Mais, c’est