Corpus premiere
Platon, Montaigne, Cervantés, auteurs marquants de leur époques, ne paraissent avoir en commun que leur renommé, pourtant a travers République, les Essais et L’ingénieux Hidaldo Don Quichotte de la Manche, ces trois auteurs partagent la même idée et prouvent que l'Homme a des difficultés a appréhender le monde. En premiers temps par sa propre inaptitude, mais aussi par des certitudes inexactes qui l’empêche d'avancer et la peur de l'inconnue.
D'une part, c'est trois textes montrent que l'Homme n'a pas les capacités nécessaires pour percevoir avec justesse le monde. En effet son ignorance ne peut lui permettre. Les connaissances actuelles de l'Homme sont allégoriquement comparées a l'obscur, sous forme de « caverne » (l.1, 32) , « demeure souterraine »(l.1) chez Platon, d' « infini » (l.4) ilotisme pour Montaigne, et de « masses noires » (l.7), « diabolique » (l.17) d’après la vision de Don Quichotte pour Cervantès. Elles sont cachées dans l'opacité par honte, n’étant qu'ombres du réel savoir symbolisé par la lumière, dont le champs lexical se fait très présent « la lumière » (l.2,3, 28, 34), « feu allumé » (l.4,13), « l’éblouissement » (l.22), « soleil » (l.32, République), « l’âme » (l.9, Essais) métaphore de la l’intelligence, de l’éclat intérieure, quand au « religieux de saint benoît » (l.22, L’ingénieux Hidaldo Don Quichotte de la Manche) ils personnifient la lueur du christ. La présence de question rèthorique appuis sur l’incompréhension de l'univers par l'Homme et ainsi son ignorance, procédé utilisé par Platon « Que crois-tu donc qu'il répondra si quelqu'un vient lui dire qu'il n'a vu jusqu'alors que de vains fantômes, mais qu'à présent, plus près de la réalité et tourné vers des objets plus réels, il voit plus juste ? Si, enfin, en lui montrant chacune des choses qui passent, on l'oblige, à force de questions, à dire ce que c'est, ne penses-tu pas qu'il