Introduction
Charles Baudelaire, a écrit son poème Correspondance dans sa section Spleen et idéal qu’il a fait paraitre dans son recueil de poèmes Les Fleurs du mal publiée en 1857. Nous étudions ce poème et celui-ci nous montre que Baudelaire est persuadé que seul le poète peut percevoir intimement le monde sensible, cela fut sa première source d’inspiration. Il souhaite nous montré le rapport entre le monde spirituel et le monde matériel, d’après lui seuls les artistes savent déchiffrer le sens des analogies qui permettent de passer du monde des perceptions à celui des idées. Le poète utilise la méthode de la synesthésie pour nous décrire cela. Cette méthode nous est montrée grâce aux nombreuses comparaisons et métaphore. Baudelaire a opté pour un sonnet en alexandrin avec des rimes embrassées qui nous forme un rythme monotone, l’homme subit la nature, il est déshumanisé sauf le poète, cella crée un lien entre la nature et l’homme.
Comment l’être humain peut il accéder au monde des sens ?
Dans un premier temps nous regarderons comment le texte nous montre l’homme face a la nature. Puis, dans un second temps nous regarderons comment l’esprit des sens a été mis en évidence dans le texte.

Développement Le texte nous montre l’homme face à la nature.
En effet, Baudelaire nous montre une prédominance de l’homme face à la nature. Dès le début du poème, une métaphore apparait au vers 1 "La Nature est un temple", cela nous décrit la Nature avec une connotation religieuse et symbolique grâce à "forêt de symboles" au vers 3. La Nature nous est montrée supérieure et l’homme étant un élément de la nature. La Nature est écrite avec un N majuscule alors que l’homme est écrit avec un h minuscule.
De plus, il a une confusion de l’homme par rapport à la nature. En effet, le champ de la confusion est présent avec "confondent" et "ténébreuse" aux vers 5 et 6. L’antithèse vaste comme la nuit et comme la clarté" est aussi présente au vers 7. Cela nous montre que