Introduction
L’entreprise traditionnelle est basée sur un marché national. Ce marché est considéré comme essentiel. C’est-à-dire que l’extérieur n’est perçu par l’entreprise qu’en termes d’exportations ou de ressources de matières premières. On peut dire que depuis plusieurs décennies on assiste donc à un passage progressif d’une logique axée sur le marché national à une logique axée sur le marché mondial tant au niveau de la production que du travail, des capitaux et du marché des consommateurs. Il est donc indispensable d’avoir certaines connaissances en économie internationale si l’on veut comprendre le monde d’aujourd’hui et être donc informé en tant que consommateur mais également en tant que citoyen et électeur.
Le monde est aujourd’hui donc au milieu d’une révolution basée sur la mondialisation des goûts, de la production, des marchés du travail et des marchés financiers. Cette mondialisation est importante car elle accroît son fonctionnement, elle est inévitable car la concurrence international le requiert. Par ailleurs, la mondialisation est critiquée à cause des inégalités croissantes de revenus dans le monde, à cause également du travail des enfants, de la pollution environnementale. Tout cela à donner lieu à un fort mouvement antimondialiste.
L’économie internationale traite de la théorie pure du commerce, de la théorie de la politique commerciale, cela concerne des aspects microéconomiques de l’économie internationale. La balance des paiements et le marché d’échanges avec justement l’ajustement de la balance des paiements, cela concerne des aspects macroéconomiques en économie ouverte. La théorie du commerce enseigne que l’ouverture a des effets positifs susceptibles de soutenir la croissance. Exemple : l’élargissement des marchés.
Dans ce cas, l’ouverture internationale est un catalyseur de la croissance. Elle s’inscrit dans un ensemble de réformes capable de libérer les forces du marché. Pour les gains statiques, l’ouverture est assez faible