CRITIQUE DE LA JOCONDE par Jean-Michel Basquiat
Introduction :
La Joconde de Jean-Michel Basquiat peinte en 1983. Dans cette rédaction nous allons voir les points positifs et négatifs.
Développement:
D’un point de vue globale ce tableau est très grossier, il est bâclé et imprécis, les couleurs sont pâle et les traits ne sont pas soignés. Le peintre l’a peint de façon a ce qu’elle donne cette sensation de dégoût dans un but précis.
Les couleurs de ce tableau sont très jaunâtres, trop brillant et tape à l’œil, il possède des zones sinistres et noirâtres, des zones sombres. Les traits sont maladroits et balourd, il donne au tableau une impression caricatural, du ridicule et rend grotesque cette œuvre.
On pourrait dire que ce tableau est un gribouillage d’enfant, d’un brouillon, du griffonnage, il ressemble a un graffiti de rue faite dans un coin de table, un tag ou du bombage faite à la va-vite.
Pourtant dans ce tableau on peut aussi se demander si toute cette laideur n’avait pas été créé pour une bonne raison, elle pourrait cacher une idée brillante, formidable et original voir extraordinaire et vu nulle part ailleurs. Le peintre aurait eu un but un objectif, une émotion, une idée a implanté dans le tableau, qu’il aurait accompli avec succès. Il aurait égayer ce tableau et le rendre moins sinistre que l’original en répartissant ingénieusement et adroitement les traits et les morceaux de cette peinture ce qui l’aurait rendu fameux et célèbre dans le monde qui par la suite lui aurait donné de la valeur, le peintre aurait peint la Joconde ainsi que le dollars pour représenter son tableau a leurs égal car comme eux, ce tableau est connu dans le monde.
Conclusion :
En conclusion, le peintre essaie de susciter aux personnes qui regarde son tableau du dégoût par ces traits difforme et imprécis, mais aussi de susciter des critiques positives grâce à son originalité.