Critique : eternal sunshine of the spotless mind

936 mots 4 pages
Eternal Sunshine of the Spotless Mind (2004) est un film américain oscarisé (meilleur scénario original) réalisé par un français, Michel Gondry. Le scénario quant à lui a été écrit par Charlie Kaufman. Pour incarner les personnages, rien de moins qu’un casting de choix : Jim Carrey, Kate Winslet, Kirsten Dunst … Ce célèbre réalisateur est un homme aux facettes multiples. Il n’est pas seulement réalisateur de cinéma et de vidéo mais aussi musicien. Il a commencé en réalisant des courts-métrages et confirme son talent avec ce film qui est un vrai chef d’œuvre du septième art.

Ce film raconte l’histoire du couple formé par Joel (Jim Carrey) et Clémentine (Kate Winslet). Après quelques années, la passion qui unissait ce couple se dégrade et lorsque Joel apprend que sa compagne l’a complètement effacé de sa mémoire suite à une nouvelle technique scientifique inventée par le docteur Howard Mierzwiak (Tom Wilkinson), il décide de faire de même. Pourtant, lorsque les souvenirs commencent à s’effacer, il combat le processus afin de garder les dernières brides de sa mémoire en rapport avec sa chère Clémentine.

Pour commencer, Eternal Sunshine of the Spotless Mind trouve son origine dans le poème Eloisa to Abelard d’Alexander Pope qui est même cité dans le film :
How happy is the blameless Vestal's lot!
The world forgetting, by the world forgot;
Eternal sunshine of the spotless mind!
Each pray'r accepted, and each wish resign'd.
Le titre signifie littéralement « L'éclat éternel de l'esprit immaculé ». Charlie Kaufman avait déjà utilisé ce poème dans le long métrage Dans la peau de John Malkovich, réalisé par Spike Jonze en 1999, qu'il avait scénarisé.

De surcroît, cette œuvre cinématographique est passionnante principalement grâce aux acteurs formidables qui ont été choisis pour incarner les personnages du film. En effet, Jim Carrey est parfait dans le rôle de Joel. Il a su grâce à ses nombreux talents d’acteur incarner à la perfection ce déprimé au grand

en relation

  • Ceci n'est pas cinema belge
    1158 mots | 5 pages
  • Analyse soleil vert
    359 mots | 2 pages
  • Critiques du flim romeo et juliette de baz l'hurmann
    431 mots | 2 pages
  • Analyse elephant de gus van sant
    1629 mots | 7 pages
  • Man ray « cinéaste »
    866 mots | 4 pages
  • the problem all live with
    676 mots | 3 pages
  • Vieux dossier sur la comédie musicale pompé sur Chion
    6102 mots | 25 pages
  • Mélies
    4865 mots | 20 pages
  • Evolution du cinéma
    1713 mots | 7 pages
  • Philo
    1285 mots | 6 pages
  • Le corps autant que la pensée
    9819 mots | 40 pages
  • Le bon style est-il ennemi de la créativité ?
    1678 mots | 7 pages
  • La perception
    621 mots | 3 pages
  • Bergson, qu'est ce que l'artiste ?
    300 mots | 2 pages
  • Django
    289 mots | 2 pages