Critique film le pere goriot
L'adaptation filmique du Père Goriot d'honoré de Balzac qui porte le même titre est un film réaliste et historique de Jean Daniel Verhaeghe. Un brave homme appelé Père Goriot (Charles Aznavour) vit dans la pension Bourgeoise Vauquer. Il possède 600 francs de rente, s'étant dépouillé pour ses filles Anastasie (Rosemarie la Vaullée) et Delphine (Florence Darel) qui ont toute deux ont 50 000 livres de rente,. Il se meurt et ses filles qui n'en veulent qu'à son argent.
Jean Claude Carrière en reprenant l'histoire de Balzac « Le père Goriot » a fait preuve d'une incroyable minutie. Dans son livre Balzac classe ses personnages, ces cela qu'à parfaitement reproduit le scénariste dans son téléfilm. Les personnages semble caricaturé tant dans le livre que dans le film. Il démontre bien l'importance d'être en haut de la « chaîne alimentaire » et l'importance d'avoir un mentor. Le personnage de Rastignac (Malik Zidi) est entouré de deux mentors et d'un contre modèle dont Rastignac va se servir comme d'une poulie, Charles Aznavour chutera lentement pendant que Rastignac évoluera. Chaque mentor représente une partie de la société et un vice. L'un de ses mentors s'appelle Vautrin, ce personnage est mystérieux et parfaitement joué par Tcheky Karyo. L'intrigue sur ce personnage est plus courte dans le film, de plus ce personnage est un prétexte à l'humour. Il y a une scène dans le film ou l'inspecteur Gondureau à une conversation avec Mlle Michauneau et Poiret où l'homosexualité de Vautrin et tourné en dérision à l'image de ces phrases de l'inspecteur et de Poiret « Habitude du bagne sûrement » et « cela existe donc ? », l'étonnement du personnage de Poiret est dû au contexte du film, quand Balzac à écrit ce livre l'homosexualité était passible de mort.
Jean Claude Carrière a réalisé ici une performance car le film est moderne et le spectateur sort involontairement cette phrase de son contexte. Le scénariste à sût détourné la nature d'un