Création d'une nouvelle fantastique
J'avais peur, mais j'étais vivant. Vivant ? Oui je crois, mais je ne trouvais plus mon chien. J'avais un chien ! Je ne suis même plus sûr. Je savais que c'était chez moi, je reconnaissais, mon fauteuil et ma table basse."Louis" était noté sur une facture posée sur la table, sa devais être moi. Je ne savais plus qui j'étais, mais j'étais toujours là, c'est le principal. Je m'approchai du couloir, passai la porte. J'arrivai maintenant devant l'entré. "Welcome" sur le tapis était à moitié camouflé par un amas de poils. J'avais effectivement un chien ! Mais que s'est il passé ? Soudain, une odeur de cramé et un gros nuage gris traversa la pièce. Je courai vers la cuisine, affolé, la poêle était en train de cramer sur ma plaque vitrocéramique. Un restant épais et sale était collé dans le fond. Je me souvenai de ce qui c'était produit. je cuisinais avec les oeufs du poulaller. quand l'omelette que j'étais en train de préparer à pris vie, elle est sortie de la poêle.
Puis je ne me souviens plus...
Ca devait être un jeudi, mais je ne travaillais pas, normalement je devais être dans le restaurant de mon père. Mais j'avais congé. Je dormais, jusqu'à ce que la lumière traverse mes rideaux, il était 10 heure. Et mon ventre gargouillait déjà de faim. Je me reveilla, me leva, je traversai le couloir pour arriver dans le cuisine. J'ouvris le premier tiroir, mais il n'y avais rien. J'ouvris alors le frigo, toujours rien. Je descendai alors de l'immeuble, pour aller chercher des oeufs dans le poulaller du jardin des appartements. Je n'avais jamais aimé ces poules. Un jour elles te fixent, un autre elles te volent dans les cheveux. Je les trouvais bizares, elles me faisaient ressentir une présence presque humaine quand elle était près de moi. Mais javais faim. Alors je pris les oeufs et je remontai dans ma cuisine. Je pris dabord ma poêle, puit mes oeufs que je cassai dans celle-ci. Les oeufs commencaient à crépiter, ca ne se passais jamais comme sa