Culture cubaine Avant la Révolution cubaine, la capitale possédait 135 salles de cinéma dont la plupart ont été fermées : il n’en reste plus qu’une vingtaine dans cette ville de 2,2 millions d’habitants[52]. L'île de Cuba est réputée notamment pour : les cigares, notamment les Habanos et les Cohiba, cigares cubains de renommée mondiale. le rhum, surtout le Havana Club (dont le añejo, i.e. vieilli de 7 ans). Le rhum est une eau-de-vie brûlante obtenue par fermentation et distillation du jus de canne. la musique cubaine a produit un grand nombre de genres musicaux dont le mambo et le cha-cha-cha, le son dont Buena Vista Social Club a permis la redécouverte, le boléro. Aujourd'hui elle s'exprime avant tout par la timba (proche de la salsa) et le reggaeton. Elle s'inspire aussi de la rumba congolaise, pour cause, la forte communauté originaire d'Afrique centrale (ex-Zaïre) depuis l'esclavage. les vieilles voitures américaines (classées dans le patrimoine cubain, c.-à-d. qu'on ne peut les acheter et les faire sortir de l'île) La religion à Cuba reflète la diversité culturelle de l'île. D'après certains chercheurs, 85 % des Cubains croient en quelque chose, alors qu'ils ne sont que 15 % à pratiquer régulièrement une religion[56]. La Havane : Les maisons de loteries et de prostitution, les night-clubs et les casinos y sont nombreux. La ville devient la capitale latino-américaine de la prostitution et environ 300 000 touristes américains y affluent chaque année, d’où son surnom de « bordel de l’Amérique ». Dans les années 1920, durant la prohibition aux États-Unis, La Havane devint la destination de prédilection des Américains. Les casinos et nightclubs y étaient légions. Mais la plupart furent fermés en 1959, lors de la révolution cubaine. Avant la Révolution cubaine, la capitale possédait 135 salles de cinéma dont la plupart ont été fermées : il n’en reste plus qu’une vingtaine. {draw:frame}