Culture et religion
Aujourd’hui le fait religieux est une réalité sociale et politique. Elle est rerentrée dans la sphère sociale publique notamment depuis les attentats du 11 septembre.
Religion: repose sur le sacrifice (donner)
Freud:
Religion satisfait curiosité humaine (propose conception du monde), apaise craintes de l’homme (hasards, dangers de la vie, finitude) et donne code de conduites et système de pensée (assure stabilité) fonction théorique, psychologique et pol.
Nous nous situons donc sur un plan particulier, où il ne s’agit plus de discuter pour savoir si Dieu existe ou pas, mais si l’homme a besoin de religion, de spiritualité d’espoir, ou de consolation.
Nécessité s’appuie sur une névrose, transfert de la figure paternelle. Le besoin de religion est donc lié à une angoisse résiduelle de la petite enfance. Il développe l’idée que soit la religion est un pouvoir exercé sur l’homme (l’infantilisation), ou soit elle est intrinsèquement perversion qui produit une infantilisation.
* le dv personnel passe par des phases de névroses. * et l’humanité aussi finalement * la religion déclenche une névrose. * Avec le dv les névroses s’estompent, on arrive mieux à les maitriser. Donc avec le dv de notre scté la religion tend elle aussi à diminuer en terme de force. * Mais ajd l’essence de la religion n’est toutefois pas épuisée par cette théorie. Enfin époque de Freud. Elle représente les souhaits les plus intimes et les plus anciens de l’humanité. * La religion est pour Freud une illusion, les hommes s’y rattachent car ils sont faibles. Besoin de protection de l’homme. Croyance en une providence divine et bienveillante : l’angoisse devant les dangers de la vie est apaisée. Permet de rep à des questions existentielles auxquelles l’homme ne sait répondre.
Marx : religion comme théologie * fondement de la critique de la religion : c’est l’homme qui a