Culture géneral et expression utopie
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Une Utopie est définit comme étant la représentation d’un monde idéale et parfait. Elle relève de l’imaginaire. L’Utopie est souvent utilisés par des écrivains pour critiqué la société dans laquelle ils vivent. A travers l’écriture, les écrivains se permettent de rêver au monde parfait tant au niveau de l’architecture mais aussi de la société elle-même et de ses habitants. Ainsi dans Utopia de T. More, dans Candide de Voltaire et dans Les Cinq cents millions de la Bégum de J. Verne, les auteurs décrivent ce que serais la société idéale dans laquelle ils aimeraient vivre. La base de leur Utopie est la même malgré les siècles les séparant. Ainsi nous allons voir qu’elles sont ses caractéristiques principales dans ces trois textes. Nous commencerons par voir l’architecture idéale de ces villes et ensuite l’organisation sociale. Ces trois mondes utopiques révèlent une architecture idéale. Ces villes sont situées à la campagne dans des endroits protégés où la beauté et l’ordre règne.
En effet, deux auteurs, More et Verne, situent leur ville idéale dans un espace à part. T. More dans Utopie place sa ville dans un endroit fortifié, isolé, à l’accès rendu difficile par une végétation épineuse.
La cité de Verne, quant à elle, est tapie au milieu d’une végétation dense.
Ainsi, ces deux villes apparaissent comme des joyaux à l’écart d’un monde trivial. Ce sont des espaces préservés qui s’épanouissent dans un monde rural.
De plus cette architecture protectrice faite de rempart s’inscrit dans une végétation dense et luxuriante.
En effet dans Utopie de T. More, les habitants possèdent tous un jardin qu’ils entretiennent et cultivent. Cela constitue leur principale occupation. Les utopiens tirent un très grand plaisir à cultiver la terre.
La ville de Verne, elle aussi est décrite comme étant bien entretenue. La végétation présente dans cette ville est coloré, exotique et respire le calme.
Enfin, dans la cité de Voltaire, l’Eldorado, les habitants cultivent des