culture g le rêve
Ce corpus laisse apparaitre la définition du rêve, en effet on peut y voir la variété des rêves, leurs motivations et leurs idéalisations.
Selon le texte « La rêverie ? Un fantasme tourné vers l’avenir », l’auteur nous dit que les rêves peuvent être variés. En effet, il évoque que le rêve peut se décliner en 3 formes : le rêve qui est sujet aux hallucinations, la rêverie qui touche à un monde virtuel et le fantasme qui lui est une substitution à un manque ou encore une anticipation de l’action. Tout comme Michèle Perron – Borelli, Grégoire Delacourt, auteur de « La liste de mes envies », classe lui aussi les rêves en différentes variétés. Il évoque notamment les rêves d’immortalités, les rêves amoureux et les rêves professionnels. En outre, dans « La cristallisation de l’image » on peut y voir le rapport entre rêverie et rêves amoureux, qui sont des variétés de rêves énoncées par les deux autres auteurs si dessus.
Bien sûr ces formes rêves sont bien entendu motivées par divers raisons.
D’après la couverture du guide pratique « Le corps de rêve pour les paresseuses », on peut constater que les rêves sont motivés par la valorisation de soi, notamment par la promesse qu’offre le titre comparé à l’image qu’il nous offre. Il en est de même pour Grégoire Delacourt, qui nous fait partager dans son roman que « Jo » son personnage rêve de réussir sa vie, d’intégrer une grande école et de rencontrer le prince charmant, ce qui représente à terme une certaine valorisation de soi. En revanche dans « La cristallisation de l’image », la motivation du rêve est l’impulsion, voir le désir. En effet, ces impulsions donne naissance à des images dites fantômes et donc à des rêves. Tout comme, Grégoire Delacourt, Michèle Perron-Borelli nous montre qu’une des motivations du rêve est également le désir, car une personne désirant quelque chose va se mettre à en rêver. En revanche il nous évoque également que le narcissisme est également une des