Culture générale

Lorsque l’on pratique un sport, notre objectif premier est souvent de perdre de la masse graisseuse pour garder la ligne, ou alors de se maintenir « vivant » en améliorant notre condition physique et ainsi éviter au maximum d’endommager notre corps et le rendre vulnérable à tout type de maladies grave par la paresse. Cependant il existe encore un autre facteur motivateur pour une pratique sportive que beaucoup d’entre nous recherchons dans un sport. Il s’agit du vecteur « cohésion social » qui traduit une liaison morale avec autrui inculquant ainsi des principes fondamentaux de tolérance, et de respect à l’individu et le fait entrer dans une sphère sociale appelée société dans laquelle chacun peut trouver sa place. Mais es ce que ces sportifs ont-ils assé de raison pour prétendre que le sport en est le fondement principal ? Pour y répondre, je développerais mon raisonnement en deux axes, l’un où je tenterais tant bien que mal de démontrer qu’il en est un, puis je démontrerais qu’au contraire le sport ne l’est pas forcément.

En premier lieu, les amateurs sportif par la visualisation et non par la pratique peuvent ressentir ce besoin de cohésion. En effet, lors de grandes représentations sportives au niveau international, Mr. Tout le monde peut se retrouver au cœur même de l’action. L’exemple le plus concret serait de citer l’exploit de l’équipe de France de football lors de la coupe du monde de 1998 où les représentants « Blacks blancs beurres » français ont battu les quintuple champions du monde brésilien 3-0. Cet élan a provoqué de nombreuses scènes de joies et de solidarité entre supporters et simples citoyens à travers tout le pays et a repoussé encore un peu plus les frontières épaisses du racisme.
Pour ceux qui préfèrent la pratique, ils peuvent ressentir ce vecteur en participant à des sports collectifs. Le monde de l’Ovalie en est le parfait concentré. Dans cet activité certes un peu brutale, un joueur quelconque peut se retrouver