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Cas adapté par Lissette Marroquin et Consuelo Vásquez dans le cadre du cours COM1500 Communication et organisation (automne 2006) à partir d’un reportage d’Enjeux de Radio-Canada, « Le bonheur au travail »
(Parent, 2000; 20 minutes 8 secondes).
Nous regarderons l’émission ensemble en classe. Dans ce document, vous trouverez une courte introduction, ainsi que deux questions en lien avec l’école des relations humaines. Vous travaillerez sur ces questions en classe, en équipe, après le visionnement de l’émission.
Émission « Le bonheur au travail »
Pour trouver la recette du bonheur au travail, chaque travailleur a besoin des mêmes ingrédients: appartenance, reconnaissance, respect et sécurité. Certaines entreprises semblent y arriver: elles savent attirer beaucoup de candidats, sélectionner ceux qui s'insèrent le mieux dans la culture de l'entreprise et conserver leurs employés plus longtemps. En retour, elles obtiennent souvent fidélité, disponibilité et l'absence de cet empêcheur de tourner en rond, un syndicat. Les employés s'y disent souvent heureux, mais à quel prix? N'y a-t-il pas perte de liberté, d'individualité et d'esprit critique pour bien s'intégrer à la grande famille de l'entreprise? Est-ce un milieu de travail ou une secte? La ligne qui les sépare est parfois mince. Ce reportage présente trois entreprises avec leur recette spécifique, ainsi que des employés et leur témoignage: Walmart, qui fidélise son personnel à coup de bonus et de grands sentiments ; WestJet de Calgary, où l'on retrouve une atmosphère qui s'apparente un peu à celle d'un Club Med, et enfin MDS Nordion (Ottawa), une entreprise de technologie médicale qui emploie de la main-d'œuvre plus qualifiée. Cette entreprise de 800 employés cherche à retenir l'expertise, et offrir aux employés les moyens de juguler leur stress. Ci-dessous quelques extraits des employés travaillant dans ces entreprises.
« La compagnie ne nous appartient pas. Non,