De quoi nos sommes-nous responsables ?
[2.] Comment, dans ce cas, trouver la juste mesure à ce dont nous sommes responsables ? [III.] A quoi devons-nous finalement limiter notre responsabilité, y compris pour les actions que nous n’avons pas déjà effectuées nous-mêmes ? A) [éventuellement] Sommes-nous responsables des actions passées, au sens où nous devrions essayer de les réparer, même si nous ne les avons pas causées …afficher plus de contenu…
Responsabilité non plus pensée comme faute, mais comme action prospective, notamment souci des plus faibles, par exemple socialement (Rawls & co) 2. Peut-être pas seulement au sein de chacune de nos sociétés, mais à l’égard des collectivités et des États, au nom d’une dignité humaine partagée (Kant). Q : jusqu’où : ingérence humanitaire, y compris par la guerre ou non ? [Conclusion] Dans ce cas, nous serions responsables de l’humanité dans son ensemble, à commencer par ses représentants les plus défavorisés. [Relance] Mais faut-il limiter ce « nous » aux seuls humains ? [Autre relance : critique de cet universalisme, du côté des penseurs