Lecture analytique n°1
Délie Maurice SCEVE

La poésie est tiré d’une œuvre intituler Délie, objet de la plus haute vertu (1544). Elle est le résultat d’une triste expérience amoureuse, qui a été pour Maurice Scève une initiation (au sens philosophique du terme).
Il lui a permis d’accéder à un seconde naissance (c’est pour lui une prise de conscience). C’est le recueille qui a fais la gloire de Maurice, il est composé de 449 disints (de strophes de 10 vers). Les érudits qui ont étudié ses œuvre, pensent qu’il a été influencé par la Kabbale (= la tradition juive donnant une interprétation mystique et allégorique des tables de la loi, la torah). Délie est composé des chiffres 3 et 7 qui sont des chiffres privilégié.
Lyon à l’époque commencé à être une capitale de l’occultisme (=crois à l’existence de réalités suprasensibles perceptible par recours aux sciences occultes).
La poésie est très mathématiques (construits mathématiquement). Il a construit cette œuvre selon la « froide saison » qui considère l’amour et la poésie non comme une effervescence de sentiments mais comme un moyen de connaissance et d’ascension spirituel. L’amour est considéré comme le médiateur par excellence. Maurice Scève pense que pour se connaitre soi-même, il faut venir à l’état poétique pour prendre conscience des problèmes fondamentaux de l’existence humaine (dont la mort).L’amour est source d’une lucidité exemplaire.
Délie est l’anagramme de l’idée de la femme selon l’inspiration du philosophe grec Platon (sur terre il n’y a que le reflet de l’idée de bien). Maurice Scève est à la fois un pétrarquiste dont la femme est la médiatrice mais il s’inspire aussi de la philosophie de Platon. Maurice Scève est un poète soucieux d’exprimer ses idées clairement et de la manière la plus juste. Suite à cela il trouve la concision (=bref). Sa rigueur on la retrouvera chez : Paul Valérie, Mallarmé. La forme du recueille révèle l’influence de Pétrarque mais son originalité vient de