DES CHOIX TERMINOLOGIQUES
Dès les premières recherches sur l’acquisition des langues étrangères au milieu scolaire le processus d’enseigner et apprendre le français marque déjà le chemin de l’investigation qui implique la prise en comte de facteurs multiples pour le comprendre et l’améliorer. Parmi ces interrogations; il y en a une qu’il faut lui accorder plus d’attention; celle qui s’articule au tour de la pertinence de la grammaire dans le processus d’enseignent/apprentissage qui n’occupe plus le premier rang mais devient pour celui qui enseigne un souci dans la mesure où il doit chercher toujours de nouvelles approches pour faciliter la tache, et tenter de concilier les nombreuses contradictions qui ne manquent pas de se présenter au enseignants de la langue comme a l’apprenant.
Une solide culture grammaticale de l’enseignant peut lui permettre d’aborder les règles de grammaires, énoncées dans les manuels scolaires, mais est ce que peut-elle développer la curiosité et l’esprit de découverte chez l’apprenant au sein de son apprentissage, et est ce que elle est adaptée aux besoins de son public.
Tout enseignant rencontre des difficultés dans sa pratique d’où est la question des choix terminologique à la pratique de la grammaire en milieu scolaire, celle des simplifications qui doivent se faire pour garantir la correction de la langue et le bon déroulement de l’apprentissage. Les nouvelles recherches nécessitent de l’enseignant de se construire, pour soi et pour ses apprenants en matière de terminologie grammatical dont l’usage est indispensable à l’analyse du système de la langue.
Ces recherches souhaitent répondre à ces interrogations en évaluant la terminologie qui s’enrichie de plus en plus, et en vérifiant si elle est adaptée aux pratiques dont elle a été créée, donc il faut apporter l’extrême soin aux choix terminologiques dés qu’on se lance dans un processus d’enseignement/apprentissage d’une langue étrangère, car tout progrès d’une langue né de la