Descartes, méditations métaphysiques. le morceau de cire
Dans ses méditations métaphysiques, Descartes se demandent comment pouvons nous acquérir des connaissances. Il va donc se poser plusieurs questions, et examiner différents modes de connaissance, pour parvenir à la réponse, qui est l'entendement. Des lignes 1 à 5, il pose la question qui l'occupe tout le long du texte : comment acquérons-nous nos connaissances ? Il examine dans un premier temps, des lignes 6 à 15, si on peut établir une connaissance légitime de la réalité sensible grâce à nos sens. Pour cela, il prends l'exemple d'un morceau de cire. Puis, à la ligne 16, il se rend compte qu'il est incapable de connaître la cire grâce à la sensibilité, mais son identité lui paraît évidente. Comment peut-il alors connaître cette cire ? Est-ce par l'imagination ? Après avoir étudié ce mode de connaissance, Descartes réponds que non et finit par étudié l'entendement. Peut-on connaître la cire par l'entendement ? Oui, l'entendement est l'unique moyen de connaître une réalité, et la connaissance sensible ne peut en aucune façon nous amener à établir une vérité légitime.
Par quel moyen pouvons nous acquérir nos connaissances ? C'est la question que Descartes se pose dans ce texte et qu'il expose dans une première partie. Il utilise donc l'exemple d'un morceau de cire. Comment connait-il la cire ? Descartes commence donc une démarche rationnelle visant à établir une connaissance légitime de ce morceau de cire. Pour commencer l'examen, il utilise le mode de connaissance le plus immédiat : les sens. Peut-on connaître une vérité par les sens ? Descartes pense pouvoir connaître la cire au moyen de sa sensibilité. Il suit l'ordre de ce que c'est sens lui donne à connaître, c'est à dire l'ordre des phénomènes tel qu'ils lui apparaissent, il suit donc la méthode empiriste. Le « je » ligne 12 qui affirme connaître la cire de façon clair c'est à dire la vérité qui, en tant que tel, se présent d'elle même, et distinct dans le sens où la vérité se distingue