1ère

QUESTIONS DE CORPUS
SUR DES EXTRAITS THEATRAUX.

Question 1

Dans ce corpus qui est proposé de trois textes dont deux écrits par Racine « Andromaque » extrait de la scène 5 de l'acte IV et « Bérénice » extrait de la scène 5 de l'acte IV puis « Médée » de Corneille nous pouvons constater que le discours des trois personnages féminins évolue au fil des extrait, en premier lieu nous pouvons observer le temps de parole des trois femmes.
Dans le premier texte « Médée » le temps de parole de la magicienne est tout à fait égale part apport à celui de Jason son époux contrairement aux deux textes suivants. En effet l'extrait d' « Andromaque » de Racine Hérimone à un temps de parole très long car elle monopolise la parole, elle occupe 31 lignes de l'extrait, contrairement aux autres présentés ce n'est pas un dialogue car Pyrrhus ne prend pas la parole, Hermione se lance donc dans une tirade, ce n'est pas le cas de Bérénice dans l'extrait IV de Racine. En effet elle aussi comme Hérmione se lance dans un long discourt mais non dans une tirade car Titus fait une intervention certe brève mais offre une réponse à sa belle. Ces différentes sortes de prise de parole ne sont pas vaines car elles évoluent toutes, comme celle de Médée qui elle suite, à l'annonce l(1à2) de Jason de ses nouveaux sentiments mais qui ne lui sont pas destinées.
Médée utilise l'ironie dans les l(13) « On ne m'a pas bannie ! Ô bonté souveraine ! » ; l(14) « C'est donc une faveur, et non pas une peine » et l(15) « Et non mon exile encore doit un remerciement »pus elle utilise de la rencoeur auprès de Jason car elle voit finalement le vrai jeux de son époux l(24) « A travers tes conseils je vois assez ruse » et trouve ce que Jason pense vraiment l(26-27) « Ton amour, déguisé d'un soin officieux, .. d'un objet importun veux délivrer ses yeux » et fini par voir qu'il l'aime mais choisi le pouvoir. Dans le texte de Racine Andromaque, l'ironie n'est pas au rendez-vous mais ce discourt