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Histoire

Zemmour :
Critique de la mondialisation

Née à Montreuil en 1958, Eric Zemmour est connu pour être un journaliste et écrivain politique essayant en principe avec panache et esprit, par des essais ou des écrits, ce qu'il estime constituer les travers de son temps.
Il a publié le 2 octobre 2014 un essaie nommé Le suicide français, à travers lequel il argumente pour démontrer « la décadence française » (selon ses termes) qui a eu lieu de 1970 a 2014.
Cet extrait est tiré du chapitre Louis Schweitzer ou la nouvelle trahisons des clercs, où Zemmour effectue une critique de la mondialisation.
Tout comme l'analyse l'économiste Frederic Lordon, nous pouvons donner deux définition de la mondialisations. Tout d'abord, la mondialisation désignerait un état du monde où les externalités ont atteint de telles portées et de telles intensités qu’elles rendent nécessaire des formes de gestion supranationales.
Ou encore par la libéralisation des marchés : sous cette autre définition, la mondialisation est à entendre comme le processus de déréglementation du plus grand nombre de marchés possibles sur la base internationale de plus grande extension possible.
Comme dit le journaliste controversé « Rien n'est trop beau, rien n'est trop loin »

Au cours de cet extrait, Zemmour, pour illustrer la décadence qu'entraine la mondialisation, utilise l'évolution de la politique de délocalisation mis en place par Renault entre 1996 et aujourd'hui.
Zemmour affirme que cette politique a débuté après que les ouvriers soient devenues « trop cher ». Cette affirmation n'est pas fausse mais mérite d'être complété. En effet, les ouvriers n'ont pas du tout vu leurs salaires augmenté, mais même diminuer au fil des années. Mais, comme le dit Zemmour, face à la concurrence d'autre pays comme la Slovénie ou l'Espagne, Ils sont devenues « trop cher ».
Intéressons nous maintenant au passage où l' écrivain montre que les gouvernements de « petits pays » ne peuvent