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2.1 Freud a foi au Nazi lorsqu’il lui dit que ca fille n’est pas en Danger et sera bientôt libérée.
2.1.1 Le nazi lui dit qu’elle sera seulement interrogée et sera relâché.
Freud : Où est ma fille?
Nazi : Ils sont en train de l’interroger, mais cela ne durera pas longtemps, pure routine, je crois bien. En tout cas, je me suis permis d’insister dans ce sens.
Freud : Très bien. Je ne vous retins pas.
On voit a qu’elle point il croit au baliverne du Nazi, car il ne pause pas plus de question.
2.1.2 C’est alors que l’inconnu entre en jeu et lui fait douter les dires du Nazi. En lui disant qu’elle ne reviendra pas s’il ne fait rien, elle sera plutôt envoyée dans un camp de concentration.
2.1.3 Freud fait chanter le Nazi en menaçant de révéler ca vrai identité, le fait qu’il est corrompu, etc. cela fait revenir ca fille et a maintenant perdu foi au Nazi.
Freud : Allons donc voir vos supérieurs, je me ferais un plaisir de parler avec eux… de cet argent… du fait que vous ne leur avez pas signalé mon testament.. de mes petites hypothèse d’amateur sur les proximités physiques… nous causerons…
2.2 Freud a foi en se que dit l’inconnu et croit qu’il est peut-être belle et bien Dieu.
2.2.1 Premièrement l’inconnu connait bien l’histoire d’enfance de Freud même si celui-ci est plus jeune, n’a pas lu ses livres et que Freud ne le connais pas.
L’inconnu : J’avais cinq ans, et à cette époque le ciel avait toujours été bleu, le soleil jaune, et les bonnes chantaient du matin au soir en laissant échapper de leurs seins entrouverts un parfum de vanille. ..
Cette histoire continu et raconte celle de Freud.