Les jeunes de tous les temps, sont exposés à toute sorte de choses et de gens différents, mais sont-ils influencer par cela ? Est- ce dangereux? Quelle sont les modèles qu’ils devraient vraiment suivre? Finissons-nous par ressembler à ce à quoi nous sommes exposés ? Et bien ! Dis- moi ce que tu imites et je te dirais ce que tu es.
D’un coté, l’origine de la justice est notre éducation. En effet, à l’époque de Socrate, les jeunes grecs étaient éduqués par la tradition poétique d’Homère, ce qui représente l’encyclopédie de la mémoire collective. C’est-à-dire que dans l’Iliade, par exemple, un jeune grec apprenait tout ce qu’il avait besoin de savoir pour devenir un homme. Par contre, Socrate n’est pas d’accord avec cette méthode, il fera donc, l’examen du contenue et de la forme. Ils commenceront d’abord par mettre en place des modèles à suivre, en d’autres mots, présentés aux jeunes les meilleurs modèles qu’il soit pour qu’ils les imitent. Socrate va par la suite créer deux lois que les conteurs et les poètes devront suivre. La première étant : « que le dieu n’est pas la cause de toute chose, mais seulement des biens »(p.157) et la deuxième est : « Les dieux ne sont pas des magiciens qui se transforment et qu’ils ne nous égarent pas par des mensonges en parole ou en action »(p.161)En d’autres mots , Les poètes et les raconteur d’histoires devront suivre ces lois en parlant des modèles tel que , les héros , les homme ,et les dieux , car Socrate refuse le caractère anthropomorphique c’est-à-dire attribuer des caractéristiques comportementales et morphologiques qui sont propre à l’homme a la divinité et il censurera tout sauf les modèles qui sont digne d’être imiter par les jeunes. De plus, nous devrons faire l’examinassions de comment c’est dit C’est-à-dire que Socrate examinera les récits imitatif, comme Socrate dit : « il était nécessaire de nous mettre d’accord pour savoir si nous allions permettre aux poètes de nous composer des récits imitatif, et donc