discour sur la tolérence
Au fur-et-meure des année loi et des principes ont été instauré a la constitution française et l’une d’entre que peut qualifier de loi très explicite et ma préférer :
« Toute personne a droit à la liberté d’expression. Ce droit comprend la liberté d’opinion et la liberté de recevoir ou de communiquer des informations ou des idées sans qu’il puisse y avoir ingérence d’autorités publiques et sans considération de frontières. » Et oui cette citation est extrait du premier alinéa de l’article 11 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne. Cependant, la Charte des droits fondamentaux n’a pas été intégrée dans le droit de l’Union européenne, et ne possède donc pas de statut juridique bien défini. Son impact est donc limité car peu contraignant. De plus, quoique l’article 11 garantisse la liberté d’expression, les textes stipulent que les États peuvent restreindre l’exercice de cette liberté afin de protéger la réputation ou les droits de tiers, pour autant que ces restrictions soient « prévues par la loi » et « nécessaires dans une société démocratique ». La grande difficulté, à cet égard, est de trouver le délicat équilibre entre la garantie du droit fondamental à la liberté d’expression et la protection de l’honneur et de la réputation des personnes.
D’un autre coté, sans complète liberté d’expression, il n’y a pas de démocratie et il n’y a pas de possibilité pour le simple citoyen de s’opposer au pouvoir du puissant. Car la menace d’aller en prison ou d’avoir à payer des amendes ou des dommages et intérêts peut dissuader les citoyens de dénoncer la corruption et autres délits. La Cour européenne des droits de l’homme a souligné à plusieurs reprises que « la liberté d’expression constitue l’un des fondements essentiels d’une société démocratique », mais a laissé aux autorités compétentes de l’État d’adopter, en leur qualité de garantes de l’ordre public, des mesures même pénales à l’encontre de ceux qui nuisent à