Discours seryes assemblée nationale constituante, le 7 septembre 1789
Première session : le courant libérale
On regroupe deux branches, les économistes classiques et les économistes néo classiques, ils ont un point commun : la confiance fondamentale dans le marché. Dans le courant classique, Smith, Ricardo, Say, Stuart Mill
Les néo classiques les succèdent : Walras, Marshall, Menger. Courant 20ème : Hayek.
Paragraphe 1 : La valeur et les prix
D'ou vient la valeur d'un bien? Les classiques disent que la valeur d'un bien dépend de la quantité de travail nécessaire à sa fabrication. Le prix se forme à partir de la valeur d'échange, mais en la modulant selon les fluctuations de l'offre et de la demande. pour les néo classiques proposent une autre source de la valeur, ils disent que la valeur dépend de l'utilité que les consommateurs donnent au bien et également de la rareté du bien. L'utilité c'est la satisfaction que l'on a à posséder un bien. Celui qui va définir la valeur d'un bien c'est le consommateur. Le producteur n'a plus aucun effet.
Plus un bien et rare plus il est cher, rareté objective. Il y a également la rareté ressentie qui va jouer.
Deux positions distinctes tirées de la réalité malgré tout, pour ce qui est des biens qui s'expliquent par la quantité de travail, c'est ce que l'on retrouvera beaucoup dans les services. A partir du moment ou le service est facturé en temps de travail on est dans la logique de la valeur du travail, c'est quelque chose qui est dans la réalité. C'est conforme à l'approche classique.
Paragraphe 2 : Le chômage
Comment le courant libéral explique le chômage? pas de rupture entre les classiques et les néo classiques. Les libéraux nous dise que le travail s'échange sur un marché, on a une offre de travail par les travailleurs et une demande de travail par les entreprises, elles se confrontent et il va en ressortir une situation si le marché fonctionne. Offre = Demande. Cette situation d'équilibre est qualifié par