Commettre des erreurs est le propre de l’homme, car l’homme n’est nullement infaillible, mais qu’es ce qu’une erreur ? L’erreur appartient au domaine de la connaissance. Elle consiste toujours en un faux savoir. Alors que le but d’un savoir c’est la vérité. Par conséquent une erreur est le contraire de la vérité. Par définition une erreur ne peut donc rien nous apprendre. Mais ne pouvons nous pas apprendre quelque chose de l’erreur trouvée. Nos erreurs ne nous révèlent rien d’assurées, une de possibilité, un risque de pouvoir encore nous tromper. En fait, pouvons nous apprendre de nos erreurs, que peuvent elles nous enseigner ? Toutes erreurs démasquées ne conduit elle pas a la découverte d’autre erreur ? Toutes ces questions ne pourraient elles pas êtres résume par une seule et même question : Le fait de reconnaitre nos erreurs peut il entrainer un progrès de notre connaissance ? Pour cela nous nous placerons des deux point de vus nous le réfuterons pour commencer et puis nous l’appuierons dans un second temps, puis nous terminerons en disant que nos erreur nous apprennent sur nous même tout particulièrement.

Pour commencer nous verrons que le fait de reconnaitre nos erreurs n’entraine aucun progrès de la connaissance car la connaissance relève toujours du jugement et donc l’erreur est toujours un défaut de notre propre volonté, cette dernière découlent toujours d’une faute. Pour débuter posons nous cette question, demandons nous ce qu’est l’erreur ? Pour ce tromper il faut croire savoir car l’erreur et comme le dit Platon « une ignorance double, c'est-à-dire une ignorance qui ne se sait pas ignorante, une ignorance doublée d'une illusion. Ce n’est pas avoir des idées ou des connaissances, il faut savoir entre toutes discerner les probables des improbables, les vrais des fausses. Posséder un savoir c’est donc pouvoir juger reconnaitre et affirmer le vrai. Sauf que Karl Popper nous le démontre bien dans Conjectures et Réfutations que ceci est impossible