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Dans la vie chaque homme et chaque femme ont vécues des événements, des incidents et des aventures qui deviennent des expériences. Ces expériences servent à nous instruire et nous guider dans la vie et aussi nous aide à mieux réagir face a nos erreurs et nos défauts. Mais peut-on dire que ces expériences vécues donnent une force et une puissance à l’argumentation et qu’elles peuvent soutenir une thèse et des idées ? Ou bien il y a d’autres façons et moyens pour donner une force à notre argumentation comme la fiction et l’imaginaire ?
Dans un coté, les expériences vécues ont une force dans l’argumentation. L’utilisation de ces expériences comme arguments évite le doute si c’est argument est juste ou pas mais elles peuvent aussi être comme une justification a un argument. Dans ‘ La controverse de Valladolid ‘ LAS CASAS évoque ces voyages en Amérique et ces rencontres avec les Indes comme argument pour montrer que ces derniers ont la même place que les êtres humains. Ces évocations ont donné une force à son argumentation parce que c’était une chose vécue par lui et personne ne peut le nier.
Dans autre un coté, la fiction et l’imaginaire peuvent donner une force à l’argumentation. Dans plusieurs occasions les auteurs utilisent la fiction pour soutenir leurs thèses. On peut prendre exemple du ‘ Dernier jour d’un condamné ‘ de Victor Hugo. Ce dernier essaye de convaincre ces lecteurs d’abolition de la peine de mort à travers une histoire fictive d’un condamné a mort. Victor Hugo raconte les souffrances quotidiennes morales et physiques subit par le condamné pour montrer que la peine de mort n’est pas nécessaire pour punir quelqu’un s’il souffre déjà moralement et physiquement