Dissert enfants d'immigrés
L'intégration peut concerner des personnes immigrées non pourvues de la nationalité du pays d'accueil, ou bien des personnes qui ont acquis cette nationalité, voire sont nées avec, mais qui ne seraient pas encore pleinement insérées dans la société. Le processus d'intégration est asymétrique, parce qu'interviennent des rapports de forces et des rapports d'intérêt très différents selon les parties qui s'intègrent. Par exemple, dans le débat public, certains diront des immigrés qu'ils doivent s'intégrer. Dans le débat politique public, l'intégration est souvent assimilée à un modèle social et politique de gestion des immigrés dans une nation ou un pays. Ce modèle est fondé sur l'idée que les immigrés font partie, de manière provisoire ou définitive, de la communauté nationale, et donc possèdent les mêmes droits et sont assujettis aux mêmes devoirs (excepté ceux étroitement liés à la nationalité, pour ceux qui n'ont pas la nationalité du pays d'accueil). Ainsi, dans l'idéal, l'immigré bénéficie du même système social, d'éducation et de santé, parfois même du droit de vote aux élections locales, mais il doit accepter en public une neutralité de comportement (tout en conservant ses pratiques coutumières et ses croyances dans le cadre privé). Ceci passe notamment par l'apprentissage de la langue nationale et, en fonction du pays, le respect de la laïcité ou le respect d’une loi religieuse.
Maintenant, les enfants d’immigrés ont-ils les mêmes droits que les français ?
Puis, qu’en est-il des pratiques sociales ? Y a-t-il manquement à ses principes ? Qui en est responsable ? Comment peut-on lutter pour que ces principes démocratiques soient appliqués ?
Quelle est l’opposition, la différence entre la valeur universelle