Dissert macro
Même si LM à une pente positive,cela ne garantit pas qu'un stimulant budgétaire puisse augmenter Q.
Si les prix était fixe on passe de E1 à B.
Si les prix sont flexible à chaque fois que DD se déplace à droite de QQ nous auront une augmentation des prix : on passe B à E0
Avec une flexibilité des prix si on est à Q*,le multiplicateur keynésien (k) =0 et l'effet d'éviction est complet,en effet la diminution de MS/P de 60 à 40 entraîne un déplacement à gauche de LM Qui sera égale au déplacement à droite de IS (relance)
Au bilan la contraction de MS/P annule l'augmentation de G en situation de plein emploient de prix flexible la variation de IS n'aura pas d'effet réel,elle n'aura qu'un effet monétaire sur les prix.
5) échec de la déflation dans les cas limités :retour à la rêve générale
Il ne faut pas de politique monétaire et budgétaire il faut laisser faire les marches.
La baisse des prix permet de demeurer à Q* chaque fois que la variation des encaise réelle déplaçait Q.
Dans IS-LM une politique monétaire est efficace si nous avons un r* c'est le taux d'intérêt auquel IS croise Q* et qui doit être supérieure ou égale à r* min cad( le taux d'intérêt le plus faible qu'on puisse avoir)
Si r* min est égale à 2,5% et que r* = 0% ont à un échec de la politique monétaire.
En gros si r* est inf à r il y échec de la politique monétaire.pour atteindre Q* il faut un niveau de AP (dépense autonome projeté) qui impliquerai un r* (ex 0%) mais c impossible car il faudrait un r négatif ou parce que nous somme dans une situation de trappe à liquidité.
Alors dans ce cas on augmente G (dépenses de l'état) politique budgétaire obligatoire