Dissert sur les chevaliers
L
ancelot, Arthur et Perceval sont tous les trois des chevaliers qui ont survécu, grâce aux romans, aux années qui nous séparent du Moyen-âge. Ces trois chevaliers de la Table ronde sont encore des héros des histoires toujours racontées aujourd’hui. Mais ces trois personnages fictifs ne sont que des portraits dit parfait de la littérature de la société féodale. Les contes fantastiques et merveilleux les décrivent comme des hommes à la poursuite d’une quête éternelle. D’autres histoires sont basées sur des épreuves émis par la conquête du chevalier. Mais est-il vrai de penser que les chevaliers du Moyen-âge étaient des êtres héroïques que les légendes nous ont décrit où plutôt n’étaient-ils pas des opportunistes égoïstes? Il est facile de prouver que les légendes nous ont laissées l’idéologie du chevalier parfait puisque au contraire, ceux-ci ne sont que des narcissiques. Dans un premier tant, nous explorerons le vrai visage des chevaliers et de la chevalerie d’hier, suivit par le pouvoir que ceux-ci avaient sur l’Église qui était omnipotente et corrompue pour finalement terminer sur l’image laissée des chevaliers par la littérature et le cinéma hollywoodien.
L a venue de la chevalerie s’est créée grâce au système féodal que l’on surnomme aussi «seigneurie». Ce système maintenait la paix et la justice dans un certain territoire, et cette forteresse s’entourait d’un groupe de combattant professionnels qui aidait à maintenir l’ordre et à exploiter, pour prix du service qui leur rend, les habitants de la seigneurie et les passants. Vers le début de sa création, on distinguait le chevalier par sa prouesse. Au tout début, ceux-ci combattait pour leur seigneurie mais, par malheur, ils ont développés au courant des années une sorte de narcissisme qui ont fait de eux des êtres mal perçus. Plus les années avançaient, plus ceux-ci combattaient pour leur plaisir en y misant tout leurs richesse durant des tournois. Ces tournois étaient des occasions