Dissert surles épreuves
De l'épopée de Gilgamesh ( mythe fondateur) à Kerry James, en passant par Charles Baudelaire et Victor Hugo, tous les grands poètes ont nécessairement laissé des textes parlant d'épreuves.
Certains poètes couchent sur le papier des écrits sur des épreuves collectives que tout le monde a vécu.
Parmi celles-ci, en premier, la guerre. Dans son poème: "Bien que la guerre soit âpre, fière et cruelle" , Théodore Agrippa d'AUBIGNÉ parle de la peur de la guerre, avant d'y partir. Il évoque aussi le désolement que nous éprouvons lorsque nous arrivons sur le champ de bataille, voyant toute la destruction provoquée par celle-ci. C'est un poême où il constate la face cachée de la guerre, éprouvée et réeprouvée au cours des guerres mondiales.
Kerry James, dans sa chanson: "Pleure en silence" lui, parle de la souffrance dans la société et qui selon lui n'est que feinte, comparée à la véritable souffrance de certaines personnes dans le monde ( famine, paludisme). Il parle aussi des apparences trompeuses et faites pour tromper: "Qui peut réellement savoir qui on est et ce qui nous tue ? les gens sont content de ce qu'on parait, pas vrai?". C'est un poême qui parle des méfaits de la société, méfaits dont chacun d'entre nous a déjà vu le résultat: Sans Domicile Fixe, banlieues.
Plusieurs poètes eux parlent aussi d'émotions collectives mais vécus de façons différentes par chaque personne.
C'est dans cette optique, que chacun des grands écrivains a rédigé un ou plusieurs poèmes sur un sujet donné. Auguste Angellier a souvent parlé de la mort, par exemple dans son poème : "Sonnet" qu'il écrit dans les années mille neuf cent quatre, mille neuf cent cinq, juste après après un drame sentimental qui l'a beaucoup marqué, et dont on retrouve l'écho dans les cent-soixante-dix-huit sonnets du livre:" A l'amie perdue".