Dissert zola au bonheur des dames
Zola écrit dans Le Roman expérimental :
« [Le roman naturaliste] est impersonnel, je veux dire que le romancier n’est plus qu’un greffier, qui se défend de juger et de conclure»
Au Bonheur des dames vous incite-t-il à souscrire à cette affirmation?
Émile Zola, auteur français du XIX et chef de fil du naturalisme, connu pour son œuvre les Rougons-Macquart. Dans le roman expérimental, Zola écrit:«(le roman naturaliste) est impersonnel, je veux dire que le romancier n’est plus qu’un greffier, qui se défend de juger et de conclure». C’est-a-dire, le romancier doit se contenter d’une observation scientifique et aucun jugement ne doit être donné sur les personnages.
Dans Au Bonheur des dames Zola n’est-il qu’un « greffier » qui ne fait que retranscrire faits et paroles, sans intervenir?
En première lieu, la question sera traitée avec Zola en tant que greffier en le comparant à un élève grâce à ses notes et aux références de son époque. Puis en tant que romancier grâce au plan du roman, des choix de l’auteur et de la leçon du roman. Enfin, Zola sera comparé à un professeur qui enseigne une leçon au lecteur sans changer le cours.
D’une manière, Zola n’imagine rien car il utilise des notes de ses visites et de ses recherches sur les grands pour écrire Au Bonheur des dames donc d’une manière il n’est qu’un greffier.
Avant l’écriture de ses romans, Zola a fait plusieurs recherches sur le fonctionnement du commerce pendant le Second empire. Il s’est inspiré du «Bon Marché» et du «Louvre», qui étaient des grands magasins à l’époque, pour faire le «Bonheur des Dames», tandis que les petits marchés comme le «Vielle Elbeuf», les boutiques de Bourras et de Robineau sont basés sur les petits marché familiaux. Il fait ainsi du «Bonheur des Dames» le représentant des grands magasins de son époque dans son livre et du «Vielle Elbeuf» celui des petits marchés de famille. Zola ne choisi pas le gagnant, il reste vraisemblable lorsqu’il raconte