Dissertation de francais
( Question 1 :
Dans l’extrait du livre « Ma vie rebelle » de Ayaan Hirisi où elle raconte son enfance, on peut constater que les somaliens sont tenus s’apprendre et de connaître par cœur leurs généalogie (Lg 1). En effet, en Somalie, il est très important de connaître l’histoire et le passé de sa famille, autant du côté paternel que maternel. Aucun enfant n’échappe à ce « rituel ancestral » (Lg 16). C’est une tradition somalienne qui se transmet de génération en génération, et on ne va pas à m’encontre des traditions. Ces enfants appartiennent à une vaste famille et se doivent donc de connaître son histoire, comme l’ont fais avant eux leurs parents lorsqu’ils étaient enfants. D’autant plus que cela peut leurs servir dans la vie, ou en voyage, lorsqu’ils rencontrent des « patriotes inconnus » qui vont leur demander qui ils sont « Qui es-tu ? » (Lg 4,5). Les trois dernières lignes de cet extrait nous font penser que les histoires de familles étaient contées par leur grand-mère.
( Question 2 :
Dans l’extrait du livre d’Ayaan Hirsi, on constate que les enfants somaliens sont tenus à une obligation : « d’apprendre par cœur leurs généalogie » (lg 1). C’est une tradition très importante qui peut les aidés dans la vie de jours. Mais en parcourant les lignes, nous nous rendons compte que les petits somaliens sont des enfants modernes (lg 16-17). Ces traditions ne les intéressent donc pas, et ils préfèrent aller jouer et s’amuser dans les branches (Lg 20). Les mentalités évoluent, ces enfants ne vivent plus dans le même état d’esprit que leurs parents quand ils étaient jeunes. Il y a une évolution qui fais que, ces enfants préfèrent écouter leur grand-mère leur raconter des histoires de familles allongés sur un arbre (Lg 22-23), plutôt que « psalmodier les noms de leur ancêtres paternels et maternels » (Lg 12).
( Question 3 :
Dans le document 2, un extrait du livre « Le maître de la parole » de l’auteur guinéen Camara Laye, on