Dissertation dirigee
- Début séance : raccord : - nombreux points vus en classe pour traiter la question d’Autrui : La conscience (essence de la subjectivité, la prise de conscience de soi en tant qu’individu, subjectivité engluée en elle-même, seul point de vue sur le monde.) la question de la connaissance de soi (passe par autrui- travaux des élèves), le désir : mode d’être de la conscience : une objectivation du monde. Le rapport désirant à autrui (autrui, un sujet ou un objet ?). La question de la reconnaissance (étude de texte de la figure de la maitrise et de la servitude- Hegel). Etude suivie de l’existentialisme est un humanisme : la question de l’autre, la condition humaine (lecture en classe).
- Donc tout pour traiter la notion d’autrui sous la forme d’une dissertation : Objet formel de la séance : Peut-on se mettre à la place de l’autre ? - sujet déjà posé de manière informelle en demi-groupe à traiter aujourd’hui : construction méthodologique de la dissertation.
- (10mn) Représentations de élèves : Comment répondriez vous à la question au vu des éléments et références que vous possédez ? Définissez d’abord les termes du sujet, pour en saisir les enjeux ? Quels sont les problèmes qui se posent à nous ?
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Travail préliminaire et éléments d’introduction :
- Définitions des termes : (10mn)
- - Peut : pouvoir : 1-possibilité, 2-légitimité, 3-puissance, force. -> Questions : Ai-je la possibilité, la capacité de changer de peau, me mettre à la place de l’autre ? Mais n’est-ce pas légitime moralement et socialement de tenter de comprendre cet autre ? Autrui n’a-t-il pas une puissance, un pouvoir de construction sur moi ?
- On : Pronom impersonnel, intéressant dans le sujet : qui est ce on ? nous sommes certes différents et nos subjectivités sont étrangères les unes aux autres mais nous pouvons nous unifier dans un concept collectif, global. Le on c’est l’homme