La liberté est le moteur principal du progrès et de l’innovation
La liberté est un droit reconnu et établi par la Déclaration universelle des droits de l’homme. Elle est le moteur principal du progrès et de l’innovation.De quoi dépend le progrès ? Dans le journal « Le Temps » paru le 13 janvier cette année, le journaliste Emmanuel Garessus nous parle justement du progrès. Il tient compte du fait que seule la libre expression d’idées et d’opinions permet d’apporter des nouvelles connaissances et de progresser. Il prend une position favorable à la liberté comme le moyen principal de progresser et d’innover en déclarant « la liberté est le moteur principal du progrès et de l’innovation ». Or, Emmanuel Garessus est un journaliste, éditorialiste au journal suisse « Le Temps ». Il est spécialisé dans les sujets économiques. Il a été pendant dix ans rédacteur en chef au journal « L’Agefi Suisse ». Mais la liberté nous permet-elle vraiment de progresser ? Trop de liberté peut-elle nuire à l’humanité ? Il y a-t-il d’autres facteurs qui contribuent au progrès ? Personnellement, je pense que si on ne pense pas librement on ne peut pas exprimer nos idées, donc on ne pourra pas progresser mais il faut comme même imposer certaines limites à cette liberté car elle peut être dangereuse.
La libre concurrence comme accélérateur du progrès.Premièrement, l’ouverture des marchés permet d’accroître le nombre de producteurs en concurrence et donc de stimuler le progrès technique, l’amélioration des méthodes de production et l’innovation. Le consommateur aura aussi le choix d’un plus grand nombre de produits, avec leurs caractéristiques propres afin de satisfaire au mieux ses besoins. Deux grandes marques par exemples, pour ne pas perdre leurs clients, vont innover toujours plus pour que leurs produits soient meilleurs que celui du concurrent.
Cependant, l’homme doit s’imposer certaines limites face aux risques liées du progrès. Aujourd’hui nous sommes dans une société ou