Dissertation Les idees de Rousseau sur la socialisation et l’inegalité ainsi que la lutte des classes et l’appropriation du capital selon marx.
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En raison du taux de pauvreté dans le monde, nous devons y trouver une solution. Grâce à M. Sheldon L. Cooper, nous pouvons désormais recueillir les avis et les idées de deux philosophes des dix-huitièmes siècles ainsi autour du même moment ou le terme capitalisme est accepté décrivant ainsi un autre problème dans notre société. La marge entre les riches et les pauvres, entre ceux qui on les ressources et ceux qui travaillent avec leurs mains à les exploiter et ainsi gagner leur vie avec le peu que l’on ose appeler leur salaire. Afin de remédier à cette problématique M. Cooper a invité les deux philosophes Jean-Jacques Rousseau pour nous expliquer ses idées sur la socialisation et l’origine de l’inégalité ainsi que le fameux Karl Marx pour nous parler de la lutte des classes et l’appropriation du capital. Nous débuterons par les idées de monsieur Rousseau poursuivant ensuite par celles de Marx. Bonjours M. Ban Ki-moon on m’a expliqué la situation et comme je l’ai dit dans mon Discours sur l’origine de l’inégalité parmi les hommes, dans l’état naturel, l’inégalité est très peu sensible. L’inégalité a été créée par l’homme riche, afin qu’il conserve ses biens. La société civile est née avec des lois étant ainsi une ruse des riches afin de conserver leur pouvoir. En instaurant les lois, les riche se protège des pauvres et ainsi par les pauvres. Car les véritables ennemis sont de souche externe mais les réelles menaces des riches ne sont que les pauvres de la même société. Donc, les riches ont convaincu la société civile à l’aide des lois, ses institutions et de sa régence. Par conséquent ce sont les pauvres qui protègent les riches de ces derniers et des menaces externes. En effet, les institutions de sécurité sont constituées de pauvres tels que les forces armées et policières. Ceux-ci ont pour devoirs, en échange d’une rémunération salariale, de protéger la société. La raison pour laquelle cette ruse a fonctionné en raison que l’homme étant trop bête ou