Pour ou contre la hausse des frais de scolarité dans les universités Québécoise ?

Texte Comparatif Présentée à : Mademoiselle Morgane Clément-Gagnon

Par Jean Benoit Vallée

Philosophie Groupe : 02

Cégep de Matane 29 Novembre 2011

Quand nous regardons de près le système d'éducation de nos écoles universitaire Québécoise, certaines questions peuvent nous venir à l'esprit. Le moyen de financement étant à la base de toute institution scolaire, je parlerai donc des enjeux de celle-ci. Ma question consistant à débattre du pour ou contre la hausse des frais de scolarité dans les universités Québécoise ? Pour bien comprendre les deux côtés de la médaille dans ce qui entoure une possible augmentation des coûts pour les usagés, je vais commencer par la vision de Jeremy Bentham au sujet de la hausse et en deuxième lieu, je vais définir la pensée Karl Marx pour donner son point de vue. Ensuite, il y aura une courte analyse sur les similitudes et les oppositions de ces deux nommés ci-dessus suivit de ma propre prise de position sur le sujet des hausses de frais qui se débouchera sur le contre et finalement je terminerai par la conclusion.

En premier lieu et sans passer par quatre, le système d'enseignement pré secondaire est sujet ces dernières années à une tentative de restriction budgétaire de la part du gouvernement. Que ce soit en coupant un pourcentage des bourses ou en augmentant les frais adhésions à l'université, les gouvernements Québécois des années 2000 ont délibérément essayé de couper et d'accroître les frais des étudiants pour mieux rentabiliser leur investissement. Nous allons dans ce texte voir si le gouvernement a utilisé la bonne méthode en demandant plus de fond aux écoliers.

En second lieu, sachons que pour Jeremy Bentham, une