Dissertation sur l'intelligence et la liberté
Julie TL
Philosophie
Sujet 1 : Y a-t-il liberté où il n’y a pas intelligence ?
A sa naissance, l’homme possède une intelligence. Il veut également être libre. La question qui nous est posée, est de voir si il y a de la liberté là où il y a de l’intelligence. Il apparaît donc que combinées ensemble, elles engendrent des contraintes. Dans un premier temps, nous définirons les notions de liberté ainsi que celle de l’intelligence. Dans un second temps, nous verrons les rapports entre les deux. Enfin, dans un dernier temps, nous disserterons sur les différents points de la liberté que l’homme ne peut changer même s’il le désir. Tout d’abord, nous allons étudier la notion de liberté. Cela signifie l’absence de toutes contraintes extérieures ou intérieures. Celle-ci est appelée la liberté absolue qui serait un acte gratuit motivé par rien car il est sans intérêt, sans but, sans passions, né de soi et sans maître. La liberté serait donc le pouvoir d’agir indépendamment, non seulement des contraintes extérieures mais de toutes déterminations extérieures. L’homme aurait le mystérieux pouvoir de poser des actes qui ne seraient déterminés d’avance, ni par mes idées, ni par mes instincts, ni par mes habitudes. Tel est le libre arbitre des métaphysiciens. La liberté suppose la contingence, ce qui est l’absence de toutes nécessité. En effet, pour Spinoza, il y a deux sortes de nécessités : celle qui vient de la nature d’un être et celle qui fait qu’un être voit son existence déterminée par quelque chose. Les stoïciens se sont pourtant efforcés de penser la liberté indépendamment de toute condition extérieure. Le sage, parce qu’il réussit précisément à se détacher de tout ce qui n’est pas en son pouvoir, ne dépend que de lui-même et ne connaît