Dissertation sur l'avortement selon la théorie utilitariste de Peter Singer
Grèce. Au Moyen Âge, période de domination chrétienne, la sexualité était aussi très réglementée. Pas question de passer à l'acte sexuel avec quelqu'un avant l'étape cruciale du mariage. Mais, malgré toutes ces règles, les sociétés ont toujours trouvé des moyens de les contourner pour goûter au fruit interdit. Par contre, les femmes devaient faire bien attention de ne pas devenir enceinte en contournant les règles. Si elles se faisaient attraper la main dans le sac, elles étaient valables de peine de mort dans l'Antiquité et d'emprisonnement au
Moyen Âge. Sans contraceptif (pas encore inventé) elles ont alors développé des moyens pour remédier à un enfant qui aurait été conçu dans le tort. Or, l'avortement était plus que mal vu durant ces périodes sous le joug de la religion. Cette pratique était en fait proscrite. Pour ce qui en est d'aujourd'hui, la sexualité n'est plus du tout perçue comme avant. Elle a évolué grandement, jusqu'à en arriver que maintenant (du moins, au Québec), l'acte sexuel n'est plus réglementé (sauf pour l'âge des partenaires). Bien que certaines personnes attendent encore de passer l'étape du mariage pour pouvoir goûter au fruit interdit avec leur bienaimé, une grande majorité de personnes sont plutôt ouvertes côté sexualité, pourraiton dire. En plus, les femmes profitent maintenant de ce dont les femmes du passé auraient tant désiré : la contraception. En ce sens, on pourrait croire que les femmes n'ont plus besoin de trouver moyen de remédier à un enfant non désiré avant sa naissance, puisqu'elles disposent