Bibliographie : http://tpe.stefcecile.parite.pagesperso-orange.fr/aujtxactt.htm
Les femmes ont pu grâce a de nombreuses revendications , accéder au marché du travail. Des discriminations sont observables quant à leur embauche. Ces pratiques ont des répercussions sur le taux d'activité féminin.

Au début du XX e siècle et même au siècle précédent, l'activité professionnelle des femmes était beaucoup plus importante que ce qu'on imagine aujourd’hui. Elle était caractérisée par la prédominance du secteur agricole et par une proportion très élevée de non salariés. Le travail des femmes n'était enfaite pas reconnu. Le taux d'activité professionnelle des femmes par rapport a l'ensemble de la population était de 30% dès la première moitié du XX e siècle puis il ne cesse d'augmenter pour atteindre a la seconde moitié du siècle 36%.
Parallèlement à la très grande montée du nombre du taux d'activité féminin le taux d'activité masculin progresse sensiblement au même rythme et passe pendant la même a période a 60%. Le taux d'activité des hommes était alors deux fois plus élevé que celui des femmes.

Cependant le taux d'activité féminin a connu une légère baisse durant 40 années, le taux d'activité féminin augmente à partir du début des années 1960. Le recul de l'activité professionnelle des plus jeunes et des plus âgées , en raison du développement rapide du phénomène rapide de la scolarisation d'une part et l'arrêt plus ou moins anticipé de l'activité professionnelle est en effet plus que composé par la monté de l'activité plus que composé par de femmes adultes celles âgées de 25 ans a 49 ans. On assiste notamment aux années 1960 et 1970 à un rattrapage mais lent, le taux d'activité professionnelle de 36% du tournant du siècle étant retrouvé a la fin des années de 1980. Des taux d'activité féminins supérieurs à ceux de la fin du XIX e siècle sont atteints depuis quelques années seulement et ceci malgrès la crise de l'emploi. En 1994, le taux d'activité féminin par