Les frère Goncourt étaient des aristocrates, ils écrivent ensemble des romans naturalistes étudiant le fonctionnement de l’organisme humain ou des sentiments (Renée Mauperin, 1864). Ils tiennent aussi un journal d’anecdotes littéraire croustillantes qui parait en 1861. L’Académie des Goncourt, qui décernent un célèbre prix littéraire, est née des réunions fréquentes chez Edmond de ses amis Flaubert, Daudet ou Zola. Les auteurs naturalistes refusent d’idéaliser leurs personnages, chaque personnages devient, sous la plume des naturalistes, un cobaye à étudier c’est pourquoi, un auteur est dit naturaliste quand il observe et étudie la nature des individus ainsi que l influence de l hérédité et du milieu sur l’évolution. Les frere Goncourt publie le roman Germinie en 1865. Ce roman se situe a Paris Germinie une domestique vie une double vie, d’coté elle est avec sa dirigeante et de l autre avec son amant Jupillion. Dans cet extrait Germinie c’est endetté pour Jupillion et sombre peu a peu dans la misere. Nous analyserons maintenant en quoi ce texte présente de manière pathétique et tragique le monde et le destin de Germinie. Puis dans une deuxième partie nous étudierons la manière dont l’argent est dévalorisé et devient presque signe de pauvreté.

L’auteur suscite des sentiments devant les malheurs de Germine: la souffrance, la tristesse et la compassion. Dans cet extrait les auteurs nous poussent à éprouver de la compassion pour Germinie, ils nous décrivent en détails le parcourt que Germinie a du accomplir pour pouvoir rembourser ses dettes. « Elle avait quêtes, mendiés, arraché pièce a pièce, presque sous a sou. » Cette citation nous montre a quelles point il a été difficile pour Germinie de récolter cette argents et a quel point elle est désespérée. Durant la lecture de cette extrait nous somme envahi par la même compassion qu’éprouve Mme Jupillon une fois ses dettes remboursée « Oh ! vous allez rendre quelque chose avec nous, une tasse de café… » A