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II Le nez : Azora revient à la maison hors d'elle car elle a vu la veuve Cosrou détourner un ruisseau alors qu'elle avait dit qu'elle resterait à côté de la tombe de son mari tant que ce ruisseau coulerait à côté. Zadig n'aime pas sa réaction et feint d'être décédé et demande à son ami Cador de dire à Azora qu'elle devrait plutôt se marier avec lui. Il lui dit alors qu'il souffre d'un mal qu'on ne peut guérir qu'en collant le nez de quelqu'un mort la veille sur sa peau. Azora n'hésite pas à aller chercher le nez de Zadig qui l'accuse de cette idée.
III Le chien et le cheval : On recherche la chienne de la reine, et Zadig arrive à décrire parfaitement l'allure de la chienne mais dit qu'il ne l'a point vu. Il arrive la même histoire pour le cheval. On le soupçonne donc du vol des animaux, mais il se défend en disant qu'il avait deviné leur apparence par les traces qu'ils avaient laissées dans la forêt. On admire sa vertu mais, alors qu'un prisonnier se sauve en dessous de sa fenêtre et qu'il décide de ne rien dire pour éviter les problèmes, on le condamne après avoir prouvé qu'il avait vu le prisonnier passer. Ce chapitre s'inspire d'un conte persan intitulé Voyages et aventures des trois princes de Serendip.
IV L'envieux : Pour avoir mal pensé sur les griffons, on veut empaler Zadig. Arimaze, qui était jaloux de sa popularité, est présent à une soirée chez lui. Zadig écrit alors des vers pour la dame du