Dossier 3
PERRUC
Production
Exploitation
affectation Revenu primaire distribution secondaire du Revenu
Utilisation du revenu
Capital
Quelque soit le compte, il se décompose toujours de la même façon, ressource d'un coté et emploi de l'autre avec le solde en bas.
La première ligne d'un compte est toujours la dernière du compte précédent.
Salaire et traitement brut = Salaire nets + cotisations a la charge des salariés La rémunération des salariés= Salaire et traitements bruts+cotisations à la charge de l'employeur
Ressources :
Emploi:
Épargne:136
Aide a l'investissement : 6,6
FBCF : 202,3
Acquisition de stocks : 0,9
DS : 10,6
Besoin de financement : 142,6-213,8= -71.2
III/
EBE/VA=1-RS/VA
RS= rémunération des salariés
TM = Taux de Marge
1. On note forte hausse de la part salariale dans les années 70'.
2. Une baisse marquée de la PS dans les 80'
3. Une stabilisation de la PS les vingt dernières années à un niveau inférieur a celui des 60'
4. Depuis 2008, on a une baisse de l'activité et de l'emploi du fait de la crise
2/ La somme de la PS et le taux de marge ne font pas 1. Une baisse de PS ne fait pas forcement augmenter TM. Les impôts ont aussi leur mot a dire.
3/Dans les deux cas il faut comparer TC de salaire réel et TC de productivité apparente du travail qui nous dit une hausse du salaire réel même importante n'augmente la part salariale que si cette hausse n'excède la productivité apparente du travail, de même une stagnation du salaire réel n'augmentera le taux de marge que si dans le même temps la productivité apparente du travail a augmenté.
Après avoir beaucoup augmenté après 60' et 80' la part de l'EBE que les SNF consacre aux intérêts a beaucoup augmenté et en diminution depuis lors, la phénomère s'étant accéléré après 95.
La part versé aux dividendes est restée relativement stable en 60' et 90', elle a beaucoup augmenté après.
Si l'on revient sur les intérêts versés c'est la conséquence de la monté sensible des taux d’intérêts