La morale peut contribuer à la recherche de caractères juridiques; le droit quant a lui peut rejaillir sur la morale en influençant les mœurs. Le droit et la morale se complètent tout deux, mais d’un autre côté, ils sont séparés, il y à une diversité des critères entre droit et morale. La morale tend vers un perfectionnement de l’homme, elle provient de la pensé d’un sage ou d’un dieux, elle est sanctionnée par sa propre conscience. Le droit organise la vie social des êtres humains, il à une contrainte extérieure, étatique. Les mœurs désignent une règle morale adoptée par la majorité de la population. En ce qui concerne le droit et la morale, on peut penser à la notion d’équité et de justice. La morale du juriste le pousse à statuer en équité afin de rendre justice, ce qui est juste. Il y à deux notions de justices, la justice commutative qui consiste à répartir de manière égalitaire; et la justice distributive qui consiste à répartir selon le mérite de chacun. L’équité peut se présenter de trois manières différentes, il y à l’équité correctrice qui corrige une règle de droit; l’équité supplétive, qui suppléer (remplace) une règle de droit; et l’équité supérieur synonyme d’égalité. Le droit et la morale sont deux notions que l’on à tendance à rapprocher car on imagine pas des règles qui régiraient notre société qui seraient contraires à note bonne conscience. Il est donc intéressant d’étudier en quoi la morale peut apparaitre dans le domaine juridique, le domaine des règles qui nous régissent et qui exercent une contrainte extérieur à nous même. De quelle manière la morale qui est propre à chacun peut elle s’insérer dans le droit qui régit la société. Dans un premier temps, on peut considérer que les notions de droit et de morale sont séparés, du fait de leurs origines et caractères propres; et d’un soucis d’égalité face à la règle de droit de chacun si le juge n’applique pas la loi de manière égalitaire pour chacun. Dans un second temps, on