III- Consommateur ne peut pas être écologique.
1- Les habitudes nocives du consommateur.
2- La révolution industrielle entraîne un consumérisme important

1-Malgré que les consommateurs sont de plus en plus nombreux à mettre en cohérence leurs actes d’achats avec leurs valeurs en prêtant une plus grande attention aux caractéristiques sociales, environnementales et éthiques des produits qu'ils achètent. Ils ne sont pas encore la majorité de la population. La plupart des consommateurs ne se préoccupe pas de savoir où iront leurs déchets non biodégradables, quels pesticides ont été utilisé dans certains produits …Ils achètent et consomment sans réfléchir et sans se préoccuper de l’environnement.
Dans très peu de pays le « tri sélectif» existe, il permet le recyclage d’énormément de matières tel que le plastique. De plus dans les pays sous développer la pollution est dévastatrice pour les populations et pour la planète. Prenons comme exemple la France, les français sont encore en majorité à utiliser la voiture de manière excessive. Comme le montre l’étude réalisée par « Le Monde » certains experts proclament "la fin de l'automobiliste roi" et l'ouverture d'"une nouvelle ère" en France au vu du dernier bilan chiffré publié par le ministère des Transports. Le journal détaille et analyse ces chiffres. La voiture individuelle assure encore 83 % des déplacements dans l'Hexagone mais l'utilisation par les Français de leur automobile a baissé en 2005 (- 1,4 % par rapport à 2004) pour la première fois depuis 1974, année du premier choc pétrolier. Selon les Comptes des transports publiés en juin 2007, dans un contexte où le nombre total de déplacements individuels est resté stable depuis 2000, ce recul de la voiture s'est même accru en 2006 (- 2 %). Le développement du transport aérien est en augmentation parce qu’il apporte au consommateur un voyage moins long et plus confortable que le train par exemple. Mais il est bien plus nocif pour l’environnement encore une fois