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Axe I : une manière habile, discrète mais convaincante de faire passer son message
a. L’auteur nous montre une époque dure, d’insécurité
Le texte commence avec « un mal (v1), Mal que » le texte commence par des mots qui nous montre une inquiétude, quelque chose qui trouble la société. Il s’agit d’un registre dramatique voir tragique, les deux premières rimes son « fureur, terreur » ces mots en fin de vers sont associés à la terre dernier mot du 3eme vers. Les allitérations en R accentuent cette impression de fatalité, de dureté « fureur, terreur, guerre, terre ». Ce mal est la peste « un mal qui... Mal que… » (Puisqu’il faut l’appeler par son nom) l’auteur dénonce la paraphrase qui insiste sur ce mal. Hyperbole « capable d’enrichir en un jour l’Achéron » insiste sur la teneur de ce mal immense. Présence des forces divines, destin « Mal que le Ciel inventa pour punir » accentue cette situation de peur, de danger. « Tous étaient touchés », personne est en sécurité. De plus l’utilisation du temps passé (imparfait) montre la nostalgie des temps sans épidémie. L’utilisation de beaucoup de négations « Nul mets, ni, plus, »ainsi que de parallélisme insistent sur le manque de quelque chose « Ni loups ni renards » « plus d’amour, partant plus de joie ».
b. Ce mal