Eligie pour un americain
[Sujet amené] Depuis la Deuxième Guerre mondiale jusqu’au débarquement des américains en Irak en 2003 et en passant par les attentats du 11 Septembre, il découle chez les Américains la crainte et l’angoisse créant les traumatismes. Ces guerres ont sur eux des conséquences physiques (perte de vie) et psychologiques (la peur). [Sujet posé] Ayant un point de vue éditorial par rapport à aux guerres, Siri Hustvedt essaie à travers Élégie pour un Américain de discuter de l’absurdité des guerres et des conséquences qui résultent. Cette femme née au Minnesota en 1955 d’une famille norvégienne et vit à Brooklyn semble à travers son œuvre, mettre en place une réflexion sur la politique étrangère américaine?). [Sujet divisé] De ce fait, l'hypothèse veut qu’Élégie pour un Américain questionne l’absurdité dégagée par ces guerres où sont impliqués les Américains depuis le milieu du XXe siècle et les inconvénients découlés. Tout d’abord, Siri Hustvedt illustre la réappropriation des mémoires du père d’Erik Davidsen (pp. 11-213), ensuite le ton de Sonia Blaustein change (la colère) à cause du 11 Septembre et elle écrit des poèmes sur cet événement (pp 213-315) et finalement les photos de Jeffrey Lane représentant le traumatisme véhiculé par la guerre, majoritairement celle de l’Irak (pp 315-400). Bref, cette femme, démocrate, réfléchit sur l’absurdité des guerres puisqu’elle nomme les principaux responsables (George Washington Bush). [174 mots]
1er paragraphe
[Idée principale – Résumé] L’histoire commence en janvier 2003 avec Erik Davidsen, un psychiatre à Brooklyn dont le père, Lars Davidsen, vient de mourir au Minnesota. Erik et sa sœur Inga héritent des lettres de mémoires de leur père. Erik apprend ce qu’était la souffrance de la guerre décrite par son père qui était soldats pendant la Deuxième Guerre mondiale (Siri Hustvedt s’est référée aux mémoires des mémoires de son père qui a passé la seconde guerre mondiale pour décrire celle-ci avec le biais de