elisa
« L’immunothérapie adoptive des tumeurs solides enfin réhabilitée / Adoptive immunotherapy in cancer: new hopes »
Francine Jotereau, Nathalie Labarrière, Nadine Gervois, Marie-Christine Pandolfino et
Brigitte Dreno
M/S : médecine sciences, vol. 19, n° 3, 2003, p. 268-270.
Pour citer cet article, utiliser l'information suivante :
URI: http://id.erudit.org/iderudit/006457ar
Note : les règles d'écriture des références bibliographiques peuvent varier selon les différents domaines du savoir.
Ce document est protégé par la loi sur le droit d'auteur. L'utilisation des services d'Érudit (y compris la reproduction) est assujettie à sa politique d'utilisation que vous pouvez consulter à l'URI http://www.erudit.org/apropos/utilisation.html
Érudit est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l'Université de Montréal, l'Université Laval et l'Université du Québec à
Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. Érudit offre des services d'édition numérique de documents scientifiques depuis 1998.
Pour communiquer avec les responsables d'Érudit : erudit@umontreal.ca
Document téléchargé le 24 March 2013 07:16
NOUVELLE
L’immunothérapie adoptive des tumeurs solides enfin réhabilitée
Francine Jotereau, Nathalie Labarrière, Nadine Gervois,
Marie-Christine Pandolfino, Brigitte Dreno
> Des modèles animaux de tumeurs expérimentales ont montré que le transfert (qualifié de transfert adoptif) de lymphocytes T spécifiques d’antigènes de tumeurs pouvait induire une immunité passive, capable d’empêcher le développement de cellules cancéreuses greffées ou même d’éradiquer des métastases établies de ces cancers.
Avant même l’identification d’antigènes de tumeurs humaines, le groupe de Steven Rosenberg aux États-Unis avait testé cette approche chez l’homme. Pour cela, il avait induit la prolifération des TIL (tumor infiltrating lymphocytes, lymphocytes T qui infiltrent la tumeur) infiltrant